Confrontée à l'inexplicable
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Confrontée à l'inexplicable
Les choses inexplicables (1)
Je suis à la cave en train de nettoyer ma paire de skis. Nous partons lundi pour un séjour en station de sports d'hiver. J'ai douze ans et demi. Je suis seule. Mes parents sont encore à une de leurs réunions de professeurs à l'université. Je n'aime pas trop être seule dans notre grande demeure. J'ai souvent l'impression d'une présence qui rôde quelque part dans la maison. Maman m'a confié une mission. Sortir le linge de la machine pour le mettre dans le sèche-linge. La buanderie est une grande pièce du sous-sol. Il y a deux vieilles armoires de famille. L'une contient des accessoires de nettoyage, balais, serpillères, seaux, poudres à laver et savons.
L'autre contient le linge que nous utilisons en été dans le jardin. Produits de purification pour l'eau de la piscine, les serviettes, les peignoirs, les coussins pour la balancelle. Tous ces ustensiles encombrants qu'il faut bien ranger quelque part. Je suis d'ailleurs chargée de faire l'inventaire de tout cela très bientôt. C'est ma mission avant la belle saison et avant les vacances de Noël. Je nettoie correctement mon matériel. J'aime que tout soit propre et bien rangé. Je place la paire de skis sur le râtelier avec celles de mes parents. Je suis absorbée par mes activités. C'est un bruit étrange qui attire mon attention. À bien écouter, c'est la seconde fois qu'il se fait entendre ce soir.
La première fois je n'y ai pas prêté attention. Mais là, maintenant qu'il se reproduit, je cesse de bouger. C'est un bruit sourd. Caverneux. Il pourrait évoquer un coup porté avec un objet lourd dans la grande salle d'un édifice religieux. Une étrange résonance que je pourrais qualifier de "caverneuse". Je sais qu'il y a des souterrains sous la cave. Mais il m'est interdit d'y pénétrer. Il y a même un puits très profond condamné par un couvercle de béton. J'écoute attentivement. Je reste quelques minutes immobile. Je ne suis pas spécialement peureuse. Il ne se passe plus rien. Je quitte cette partie de la cave qui communique avec le garage de nos voitures et des motos.
Je suis dans la buanderie. Accroupie devant le hublot ouvert de la machine. J'en tire le linge humide pour le faire tomber dans la corbeille. Soudain, le même bruit. Plus fort. Je me retourne en cessant de respirer. Un coup sourd que je crois localiser. Un bruit qui semble provenir de l'intérieur de l'armoire à linge. C'est violent. Il arrive quelquefois qu'une fouine habite notre grenier. Jamais la cave. Papa a déjà eu affaire à un loir un jour. Ce sont des animaux sauvages, discrets, souvent silencieux, qui ne cherchent pas le contact humain. Et quel rongeur vivant sous nos latitudes pourrait provoquer un tel phénomène sonore ? Ils vivent en restant cachés. Tentent de ne jamais se faire remarquer.
Ce sont des animaux qui affectionnent les greniers des maisons à la campagne. Mais là, avec ce que je viens d'entendre, il faudrait que ce soit une fouine ou un loir de la taille d'un gros chien. Je me dépêche de mettre le contenu de la corbeille dans le sèche-linge. Je ferme la porte. Je règle le thermostat. Je crois halluciner. La vieille clef de cuivre de l'armoire tombe soudain sur le sol pavé. Dans un bruit de cliquetis. Je n'ai pas peur. Mais je reste immobile. Il y a soudain un courant d'air froid. Glacial. Je frissonne en regardant le soupirail. Il est parfaitement fermé. Ce n'est donc pas un courant d'air. Je regarde cette clef. Longuement. Je cherche une explication rationnelle. Je grelotte.
Je m'approche pour la ramasser. Pour la remettre dans le trou de la serrure. Je me dépêche de filer. Juste en sortant. Le même bruit de la clef qui retombe au sol. Je l'ai pourtant bien remis en place. Pour être certaine j'ai même donné un demi tour afin qu'elle ne bouge plus. Il est tout à fait impossible qu'elle puisse chuter une nouvelle fois. C'est un peu comme si un être facétieux cherchait à me faire une blague. À se moquer de moi peut-être. Je reste silencieuse. Je scrute chaque recoin de la pièce. Le néon du plafond éclaire parfaitement tout l'espace. Je suis inquiète. Mes parents rentrent. J'entends la voiture descendre dans le garage. Cette fois, en remontant de la cave, en rejoignant maman dans la salle de bain, je raconte ce qui vient de m'arriver.
Maman et papa ont toujours prêté une oreille attentive à chacun de mes propos. Ils n'ont jamais tourné en dérision une de mes affirmations. Jamais. Aussi, maman me confie une fois encore qu'elle aussi a déjà eu l'impression d'une "présence" dans notre maison. De rares fois. Papa précise une fois de plus que c'est une grande demeure du dix-neuvième siècle. Lui-même a vécu depuis son enfance ici, avec mon papi et ma mamie qui sont partis vivre dans le Var. Cette maison possède une histoire. Papa n'a jamais rien remarqué d'étrange. Je reste avec une curieuse impression. C'est un homme pragmatique qui évite de trouver des explications plus fumeuses que les faits.
Je me rappelle de chacune des manifestations de ces phénomènes depuis petite. Je partagerai ici d'autres anecdotes vécues...
À bientôt
Valona- Messages : 6
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Re: Confrontée à l'inexplicable
Bonsoir
Lorsque la température d'une pièce chute, ou augmente, sans raison apparente, c'est le signe que l'énergie électromagnétique, naturellement présente sur notre planète, devient plus intense.Il y a soudain un courant d'air froid.
Cela peut avoir une cause géologique, surtout si un cours d'eau passe sous la maison - l'eau étant un excellent conducteur. Dans ce cas, cela réactive la mémoire des lieux, et des manifestations de "hantise", qui reproduisent des évènements ou actes passés, se produisent. Beaucoup de gens, hélas ! interprètent au premier degré, et en déduisent qu'il y a des "esprits" (je mets des guillemets car je ne crois pas à leur existence car, selon moi, même si je crois à la survivance, ce terme est trompeur).
S'il n'y a pas d'eau qui coule sous les fondations de la maison, la mémoire des lieux, et donc la hantise résiduelle, peut être réactivée par les occupants eux-mêmes.
Passiflore- Admin
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Re: Confrontée à l'inexplicable
Je continue dans mes explications :
La buanderie est une grande pièce du sous-sol.
Donc, tu dois allumer la lumière quand tu entres dans la pièce, ce qui génère de l'énergie...
C'est un bruit sourd. Caverneux. Il pourrait évoquer un coup porté avec un objet lourd dans la grande salle d'un édifice religieux.
C'est donc la mémoire des lieux, qui est rejouée grâce à l'électricité.
La vieille clef de cuivre de l'armoire tombe soudain sur le sol pavé.
Le cuivre étant un excellent conducteur, il ne faut pas s'en étonner. Comme dans les cas de "poltergeist", où les ustensiles de cuisine, tels que fourchettes, cuillères, couteaux, de facture métallique, voltigent allègrement lorsqu'ils sont à proximité d'une personne "perturbée" (en fait, c'est sa propre énergie électromagnétique qui s'intensifie, pour des causes psychologiques; ce n'est pas une façon d'attirer l'attention, c'est juste une conséquence, il est vrai spectaculaire).
Là, c'est un peu problématique... Normalement, la clef aurait dû rester en place, puisque tu lui as donné un demi-tour.Pour la remettre dans le trou de la serrure. [...] Le même bruit de la clef qui retombe au sol. Je l'ai pourtant bien remis en place.
Bien que la mémoire des lieux soit réactivée par les nouveaux occupants des lieux, surtout à notre époque, avec tous ces appareils et dispositifs électriques, il est possible qu'une entité en profite aussi pour en rajouter... en utilisant, pour ce faire, cette fameuse énergie.
Qu'ils soient spontanés ou non, sans énergie électromagnétique, les phénomènes paranormaux ne pourraient pas se produire. Les "chasseurs de fantômes" (sic) sont d'ailleurs pourvus, à cet effet, d'un électromagnétomètre, qui enregistre les variations de cette énergie. Malheureusement, ils en déduisent que c'est la preuve qu'il y a un "esprit"...
Qu'il y ait une entité sur les lieux ne signifie pas que ce soit un fantôme...
Passiflore- Admin
- Messages : 1325
Date d'inscription : 28/03/2017
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Re: Confrontée à l'inexplicable
Bonjour
Les choses inexplicables (2)
Merci @Passiflore pour vos considérations. Je profite de mes trois derniers jours de vacances. Je reprends les cours mardi. La dernière ligne droite avant les épreuves de ma Licence de Sciences. Je suis impatiente de remonter sur le ring pour remporter ce nouveau combat. Ensuite ce seront deux mois dans notre maison de vacances au bord de l'océan. Il se passe parfois des choses étranges là-bas également. Au fil de mes épisodes j'aurai toute latitude pour en partager les récits. Je continue avec cette nouvelle histoire. Des évènements remontant à très exactement deux ans. Je vous en souhaite bonne lecture et bonne découverte.
___________________________________________Les choses inexplicables (2)
Ce sont les vacances de Pâques 2021. J'ai seize ans. J'aime partir à la découverte. Le plus souvent à bicyclette. C'est un après-midi doux et ensoleillé de la fin avril. Je suis même en T-shirt et en bermuda. Dans mon petit sac à dos le matériel nécessaire à mes expéditions Urbex. Je possède un appareil photo Lumix, une caméra 4K. Je pars à l'aventure toute seule. J'apprécie énormément la solitude. Je suis fille unique et des habitudes se sont installées depuis l'enfance. Je passe quelquefois devant cette grande maison aux volets à moitié décrochés. Il y a des vitres cassées donnant sur des fenêtres ouvertes. Donnant sur des trous noirs.
Je suis venue ici pour visiter la demeure. La bâtisse doit avoir une centaine d'années. Elle est isolée au bout d'une rue. Il y a la forêt à l'arrière et sur la gauche. Les murs sont constitués de briques rouges. Les tuiles noires et moussues par endroit. C'est la campagne. Pas de squatteurs dans la région. Les gens veillent et font ce qu'il faut pour les dissuader. Le terme surveillance prend ici toute sa signification. Préventivement avec le principe "voisins vigilants", les gens sont très attentifs. Des chasseurs ont un pavillon à une centaine de mètres. De quoi éloigner les nuisibles et les parasites. Il règne dans la région un calme remarquable.
Je me suis renseignée à la boulangerie. La maison est inoccupée depuis près de vingt ans. Je cache ma bicyclette dans les buissons de genêt aux belles fleurs jaunes. De manière à pouvoir sauter sur la selle immédiatement en cas de danger. Il y a des briques saillantes qui permettent d'escalader le mètre cinquante. Je me retrouve sur le rebord de la fenêtre donnant sur ce qui semble être la cuisine. Je saute à pieds joints sur le carrelage vétuste en damier jaune et brun. Il règne là l'odeur de l'abandon et de la moisissure. Tout est en place mais tellement défraîchi, vieux et usé. C'est curieux mais le ressenti est d'abord d'ordre émotionnel.
Le buffet, la table, les chaises, une cuisinière à bois, une cuisinière à gaz. Dont la grosse bouteille bleue est encore branchée d'un câble blanchâtre. Il y a de vieux magazines de mode. Certainement des années quatre vingt dix. Je sors ma caméra du petit sac à dos. La lampe frontale dont la batterie chargée assure une autonomie de deux heures. La porte ne tient plus sur ses gonds depuis longtemps. Elle est à moitié effondrée contre l'évier en pierre de grès. Je me retrouve dans un couloir obscur. J'allume ma lampe. Je suis courageuse de nature. Jamais téméraire. Aussi, j'observe, je tente d'anticiper. Je déteste être le jouet du hasard.
C'est un long couloir d'une vingtaine de mètres. Les plafonds sont hauts. Il y a un lustre poussiéreux. Tout est recouvert d'une couche de poussière. Il y a des portes sur la droite. Des portes sur la gauche. J'y colle mon oreille. Rien. Seuls me parviennent les bruits du dehors. Principalement le gazouillis des oiseaux. J'ouvre les portes unes à unes. Toutes les pièces sont meublées, vides. Sans vie. Il y a une terrible tristesse qui règne ici. Ce qui créé une étrange sensation de désespoir. Je laisse toutes les portes ouvertes. J'explore avec soin. Avec les minutes qui passent cet étrange sentiment d'oppression s'accentue. Devient prégnant.
Je filme chaque chambre. C'est quand je m'apprête à monter les premières marches du large escalier que soudain j'entends distinctement quelqu'un pleurer. Je n'ai pas encore peur. Je n'arrive pas à localiser d'où peuvent provenir les bruits. Est-ce un enfant ? Une femme ? Je reste immobile. Je dresse l'oreille. Soudain, comme un jeu de domino, toutes les portes se referment une après l'autre. D'abord celles de gauche. Puis celles de droite. Je suis terrifiée. Il n'y a pas de mot pour décrire la panique qui me terrorise. Je cavale à toute vitesse vers la cuisine. Je sens un courant d'air froid. Tellement violent qu'il colle mes cheveux en arrière.
Je traverse la cuisine en courant. Quelqu'un me suit. Je ne vois pourtant personne. Je grimpe à la fenêtre pour sauter dans l'herbe. Les vivants sont pourtant bien plus à craindre que les morts. Mais là, je dois admettre que j'ai la trouille de ma vie. En montant sur ma bicyclette je prends soudain conscience que j'ai pénétré une maison hantée. Personne ne me croira jamais. Peu importe. De toute façon les gens ne se mettent à croire au paranormal qu'après y avoir été confronté. Arrivée à la maison je prends une douche. Je suis d'une nature calme, pondérée et réfléchie. Seule dans ma chambre je visionne les images sur mon MacBook Pro. Elles ne donnent rien. J'interroge Google qui me renvoie sur des explications plus fumeuses les une que les autres. Des explications de gens n'ayant jamais été confrontés au surnaturel. C'est comme pour les OVNI, les explications sont encore plus délirantes, absconses et ridicules que les phénomènes eux-mêmes. Rions.
Je scrute les images. Je m'aide d'un logiciel qui supprime les interférences. C'est sur imglarger.com. En fait c'est comme si j'avais filmé au travers d'un épais brouillard. Toute chose se discerne avec difficulté. Je me promets de retourner là-bas car je veux absolument filmer un phénomène, une apparition. Je ne suis pas du genre trouillarde. Je suis fâchée contre moi. Hélas, quand j'y retourne quelques semaines plus tard, il y a des engins de chantier et toutes les fenêtres sont condamnées. Il y a deux messieurs qui regardent un plan. Je leur demande ce qui se passe. L'un deux m'explique que la maison va être détruite. Qu'il y aura bientôt la construction d'une salle polyvalente. Quelle déception pour moi. Je fais le tour de la bâtisse dans l'espoir de trouver un moyen d'y entrer. Impossible.
Je ne saurai jamais. Je n'aurai jamais d'explications. C'est frustrant...
Valona- Messages : 6
Date d'inscription : 23/04/2023
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Age : 22
Re: Confrontée à l'inexplicable
C'est la mémoire des lieux, réactivée par ton appareil-photo et ta caméra, qui fonctionnent à l'électricité.soudain j'entends distinctement quelqu'un pleurer. Je n'ai pas encore peur. Je n'arrive pas à localiser d'où peuvent provenir les bruits. Est-ce un enfant ? Une femme ? Je reste immobile. Je dresse l'oreille.
Là, ça fait beaucoup pour parler de hantise résiduelle. Probablement une entité qui savait que tu viendrais dans l'espoir d'assister à diverses manifestations...Soudain, comme un jeu de domino, toutes les portes se referment une après l'autre. D'abord celles de gauche. Puis celles de droite. Je suis terrifiée. Il n'y a pas de mot pour décrire la panique qui me terrorise. Je cavale à toute vitesse vers la cuisine. Je sens un courant d'air froid. Tellement violent qu'il colle mes cheveux en arrière.
La majorité des hantises peut s'expliquer naturellement. Personnellement, je ne crois pas que les "esprits" (des anciens occupants) sont restés sur les lieux. Pour quelles raisons d'ailleurs ? Quel intérêt y a-t-il à rester enfermé 24/24 entre des murs poussiéreux ? Pour un peu, je dirais qu'ils doivent s'ennuyer à mourir
Quand on y réfléchit, on voit bien que cette explication ne tient pas. Ces reportages diffusés à la T.V., avec ces "médiums" accompagnant les enquêteurs, et parlant d'une femme, ou d'un enfant, etc., prétendument présents sur les lieux et qu'ils aideraient à aller de l'autre côté, me font sourire. Ils ne comprennent pas que c'est eux qui provoquent ces phénomènes - avec tous leurs appareils, constamment en marche - et qu'il n'y a pas d'entité. Ou s'il y en a une, elle n'a rien à voir avec un défunt.
Et là, c'est une autre histoire ! Car beaucoup d'enquêteurs, une fois rentrés chez eux après leur visite dans une maison "hantée", où il ne s'est rien produit d'extraordinaire, ont été victimes de manifestations hostiles. Et dans certains cas, ils ont dû faire appel à un démonologue, pour les débarrasser de ces entités qui les harcelaient. En réalité, le démonologue n'a aucun pouvoir sur elles, non plus que les exorcistes. Si les phénomènes cessent, c'est parce qu'elles le veulent bien.
Lorsque les phénomènes de hantise sont délibérés, et interagissent avec le témoin, c'est qu'une entité se manifeste. Cela peut arriver sans qu'on l'ait cherché, ou bien en allant dans des lieux réputés hantés, à tort ou à raison.
Passiflore- Admin
- Messages : 1325
Date d'inscription : 28/03/2017
Humeur : Curieuse de tout
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Re: Confrontée à l'inexplicable
Bonjour, ton témoignage est intéressant. D'où viennent ces pleurs ? C'est la question qu'il faut se poser si tu n'as pas été victime d'une hallucination auditive. Il faut retourner dans la maison avec un témoin. Je suis sûr que le phénomène va se reproduire. Courage !
vincent- Messages : 63
Date d'inscription : 13/09/2021
Je suis encore en vacances
Bonjour
Merci pour votre retour très gentil. Je suis actuellement en vacances. Au bord de l'océan avec mes parents. Dans notre résidence secondaire. C'est un ancien corps de ferme entièrement rénové. J'y suis souvent seule car mes parents partent en croisière plusieurs jours par semaine sur leur bateau. Je suis quelquefois confrontée à d'étranges phénomènes. Je ne suis pas émotive et pas du tout du genre à m'enfuir en hurlant. Très posée, contrôlant toujours tout à fait mes émotions, je reste "analytique" devant les choses irrationnelles. J'ai ma rentrée universitaire le lundi 18 septembre. Ma première année à la préparation au Master de sciences.
C'est ici que je viendrai relater mes aventures paranormales. Je vous demande juste un peu de patience. En vous remerciant...
À bientôt
Valona- Messages : 6
Date d'inscription : 23/04/2023
Humeur : Mystérieuse
Localisation : Chez moi
Age : 22
Re: Confrontée à l'inexplicable
Bonjour, c'est Vincent. Il faut essayer d'avoir un témoin ou une témoin quand tu es en recherche d'un phénomène paranormal. Je crois qu'il y en a beaucoup qui se produisent mais certains ne sont connus que par des témoignages. C'est la connaissance du troisième ordre comme le dit Spinoza.
vincent- Messages : 63
Date d'inscription : 13/09/2021
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